Le jour de mes 18 ans, j'ai mis au monde mon fils Cyan, j'ai accouché seule sans aucun soutient. Mes parents m'ont ordonnée d'avorter, mais même si élevée un enfant aussi jeune serait compliqué, je n'ai jamais voulu. Je me sentais prête à être maman, même si ça me faisait également peur.
Vous vous demandez surement qui est le père de bébé, c'est un véritable connard. Et je ne pèse pas mes mots. Le garçon avec qui j'avais couché pour ma première fois avait percé un trou dans le préservatif.
Pourquoi il a fait ça me demanderiez-vous. Il a dit je cite :
- "Je voulais juste voir ce que ça faisait, je ne pouvais pas savoir que tu tomberais enceinte".
Et juste après il me fuyait comme la peste et c'est même mis à sortir avec une autre fille. Et pire que tout il m'envoyait parfois ses ébats par mail...
Oui un vrai connard comme je vous le disais.
Bien entendu tout le monde m'avaient tourné le dos, comme dans beaucoup de film, mais personnellement je ne le vivais pas spécialement mal.
Le lendemain de l'accouchement ma mère est venue me voir en me disant :
-"Je t'aiderais comme je pourrais avec ce bébé même si je ne le cautionne pas."
Elle m'aimait trop pour m'abandonner comme ça.
Je me sentais quand même rassurée, au moins j'avais un toit sur la tête, mais surtout mon fils vivrait dans de bonnes conditions.
Deux jours après mon accouchement une femme est rentré aux urgences pour un accouchement, je l’entendais crier dans le couloir et j'entendais les infirmiers courir à sa suite. Mon fils ne faisait qu'hurler je ne parvenais pas à le calmer, mais je gardais espoir.
Une fois le brancard plus loin, le silence fit son apparition. Et Cyan se calma d'un coup, je lui chante alors une berceuse et je le recouche avec douceur en lui faisant un bisou sur le front. Je me suis remis alors au lit pour essayer de dormir un peu.
J'ai pu dormir, mais mon bébé c'est mis à hurler parce qu'il avait faim, quand je me suis levée pour le nourrir, une femme était debout devant son berceau. J'ai allumé la lumière sans attendre et j'ai crié. La femme m'a regardé et m'a dit:
-" Hella! Ne hurle pas, je ne te ferais rien, j'aime juste regarder ton fils".
J'avais tellement peur que je lui crie :
-"Quittez ma chambre et ne revenez pas!"
La femme n'a rien dit de plus, mais elle m'a lancé un regard noir qui m'a fait froid dans le dos. Quand les infirmières sont arrivées dans ma chambre, elles m'ont demandé ce qui avait bien pu se passer, je leur explique et elles m'ont dit :
-"Cette femme vient d'accoucher, mais malheureusement son bébé est mort née."
Cette révélation était terrible, cela expliquait pourquoi elle voulait juste regarder mon fils, mais je ne voulais en aucun cas qu'elle revienne dans ma chambre et qu'elle fasse encore peur à Cyan. Mais surtout comment elle connaissait mon prénom. Qui était cette femme à la fin.
Je devais encore rester une nuit à l’hôpital avant de retourner chez mes parents, ma mère n'était pas revenue nous voir, elle avait beaucoup de travail et mon père avait pour le moment encore du mal avec ma condition de mère célibataire de 18 ans.
J'avais passé une bonne matinée dans la chambre avec Cyan en regardant la télé ou en lisant un peu. Après le repas du midi et une petite sieste, je suis allée me promener avec mon fils dans le parc de l’hôpital. La femme qui était venue la nuit dernière me fixait sans cesse et quand je suis allée dans le parc elle nous avait suivie.
Cette femme me rendait très nerveuse, je ne savais pas ce qu'elle cherchait, mais en tout cas je ne voulais pas qu'elle s'approche de mon bébé.
Ce petit bonhomme me rendait déjà pleinement heureuse étant encore à l’hôpital et pour moi ce serait encore mieux en étant dans la maison familiale. Et il me tardait de rentrer chez mes parents, cette femme me faisait peur et je ne voulais pas qu'elle puisse encore revenir dans ma chambre.
J'avais appelé chez moi pour que l'un de mes parents passent la nuit avec moi à l’hôpital, mais ils ont refusé. J'avais demandé à la sage-femme si je pouvais fermer ma porte à clés, mais elle refusa pour la sécurité.
Je ne savais pas quoi faire pour éviter qu'elle puisse pénétrer une nouvelle fois dans ma chambre. Je commençais à avoir peur de la nuit à venir.
Je sentais le regard pesant de cette femme partout où j'allais avec mon fils, elle me faisait peur et je ne comprenais pas pourquoi elle restait à l’hôpital. Certes son bébé était mort née, mais ils ne pouvaient pas faire grand-chose de plus pour elle, à part qu'ils soient obligés de lui faire des tests où je ne sais quoi d'autre.
En fin d'après-midi j'étais épuisée, du coup je suis retournée dans ma chambre pour me reposer un peu avant le repas du soir. J'ai couché mon fils dans son berceau et je me suis mise au lit. Je me suis endormit très vite et Cyan avait été très sage.
Mais au bout de quelques minutes, mon fils c'est mis à hurler, je me suis réveillée d'un bond, quand j'ai posé mes yeux sur le berceau de mon fils, j'ai une fois de plus vu cette femme, mais cette fois elle tenait Cyan dans ses bras. J'ai appuyée sur le bouton d'urgence.
J'aurais voulu lui courir dessus, mais j'avais trop peur qu'elle fasse tombé mon bébé par terre. Quand la sage-femme est arrivé dans ma chambre, elle a dit :
-"Carmen posez ce bébé dans son berceau et quitter la chambre s'il vous plait."
Une fois mon fils reposé dans son berceau, la femme à quitter ma chambre, mais une fois de plus elle m'a lancé un regard noir. Cette femme me faisait vraiment peur. L'infirmière s'excuse et me dit avec douceur :
- "Ne vous inquiétez pas, elle ne reviendra pas vous embêter."
Je suis restée dans ma chambre pour le repas, je nourris mon fils et je me suis couchée. Je me suis réveillée en sursaut, mais mon fils dormait toujours paisiblement et il n'y avait rien de plus. Je me suis dirigée vers les toilettes, je me suis passée de l'eau sur le visage et je suis retournée me coucher.
Mais une fois de retour Carmen, cette maudite femme était encore là, avec mon fils dans les bras, elle m'a fixé un moment et elle a commencé à se diriger vers la fenêtre. Je lui ai demandé :
- "Que voulez-vous à la fin ? Reposez mon fils dans son berceau s'il vous plait."
Bien évidemment une question sans réponse, je me suis mise à hurler, j'étais trop loin du bouton d'urgence et j'avais surtout trop peur qu'elle lance mon fils par la fenêtre. Je l'ai suppliée de le laisser tranquille et je lui ai dit :
- "Est-ce que je peux vous aider en quoi que ce soit ?"
Une fois de plus elle ne m'a rien dit, mais elle a montré mon bébé. Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire. Je me suis mise à genoux en la suppliant de lui laisser la vie sauve. Elle a souri et s'est dirigé vers son berceau avec une lenteur déconcertante. Je ne bougeais pas par crainte qu'elle change d'avis.
Cyan hurler de temps en temps, mais même si cela me semblait horriblement fort et aiguë. Personne ne l'entendait comme si on était dans un univers parallèle. Lorsqu'elle déposa enfin mon fils dans son berceau, mes muscles commençaient à se décontractait et mon cœur recommençait à battre d'une façon un peu plus normale.
Cette horrible femme quitta alors ma chambre en restant fixait sur mon bébé et encore avec cette lenteur insupportable, mais au moins elle allait partir.
Je n'avais pas pu fermer l’œil de la nuit, Cyan avait eu du mal à se rendormir, mais il s'était calmé. Le matin même je prépare mes affaires sans attendre et je me dirige vers l'entrée de l’hôpital. Ma mère était venue me chercher, j'allais enfin quitter cet hôpital, mais surtout je ne reverrais jamais Carmen.
Plusieurs jours après mon retour chez mes parents, tout se passait à merveille, ma mère était totalement gaga de mon bébé et mon père commençait à supporter de mieux en mieux la situation. Mon père était à la retraite et il voulait bien s’occuper de mon fils lorsque j'irais travailler si bien évidemment je trouvais quelque chose.
Heureusement quelques jours plus tard, j'ai commencé à travailler en tant qu'aide ménagère ce n'était pas un boulot passionnant, mais au moins je gagnais de l'argent et quand je devais passer du temps avec des personnes âgées c'était plutôt plaisant.
Et dès que je rentrais chez mes parents, je passais le plus clair de mon temps avec mon fils, qui grandissait à vue d’œil et qui était vraiment un petit garçon très sage, il avait très vite fait ses nuits et il mangeait très bien.
Je l’allaitais, mais pour que mon papa puisse le nourrir je tirais mon lait et je le congelais pour qu'il en ai en stock. Mais on avait aussi du lait en poudre au cas ou.
Une fois Cyan mit au lit, je raconte ma journée à mes parents comme à mon habitude, je regarde un film avec eux avant d'aller me coucher à mon tour. Cette nuit là fut différente, Cyan ne faisait que pleurait alors qu'en général il faisait ses nuits sans soucis. J'ai essayée de lui donner à manger, mais il n'a pas voulu, j'ai regardé sa couche, mais elle était vide, je l'ai quand même changé au cas ou. Ma mère me dit de lui laisser Cyan pour que je puisse dormir, elle ne travaillait pas le lendemain alors que moi oui et j'avais une journée assez chargée.
Au bout d'un moment Cyan c'est calmé, j'ai entendu de façon très lointaine la porte de ma chambre s'ouvrir, se devait être ma maman qui rentrait pour coucher son petit-fils.
Je ne me souvenais même plus du moment où je m'étais endormit, mais quand j'entendis mon réveil, je n'avais pas de temps à tergiverser, je devais me lever, me préparer et partir travailler.
Cyan n'était pas dans son lit, je me suis mise à courir avec une vitesse inimaginable, ma mère qui m'avait entendu me crie alors :
-"Pourquoi tu cours?
-Où est Cyan ? Hurlai-je.
-Il est dans le salon, calme toi, je ne voulais pas te réveiller du coup je l'ai laissé dormir là."
J'étais rassurée même si je ne comprenais pas pourquoi, j'avais entendu la porte de ma chambre s'ouvrir, peut-être un courant d'air.
Une fois en bas mes yeux se posèrent sur mon père. Il me sourit et me dit :
-"Ne t'inquiètes pas comme ça, il est entre de bonne main".
Je partis alors au travail sans aucune crainte, en même temps mon père s'en occupé depuis que je travaillais et il n'y avait aucune raison d'avoir peur. Et en plus cette fois ma mère était également présente.
Mais cette fois-ci quand je suis rentrée chez mes parents, mon père me dit :
-"Cyan se trouve dans son berceau."
Je suis allée le voir sans attendre, mais il n'était plus là, j'ai fouillé partout et je suis tombée aux sols en criant.
Mon père est accouru dans la pièce et en voyant le berceau vide, il est sorti en courant pour regarder s'il n'y avait pas quelqu'un, il est allé voir des voisins pour voir si quelqu'un avait vu une personne ou autre. Notre voisin d'en face, Monsieur Salvy, lui dit alors :
- "J'ai aperçu une femme maigre avec de long cheveux noirs traînant dans le quartier en regardant très souvent votre maison, mais que dés que Hella à quitter votre maison, cette femme a disparu."
Quand mon père est revenu et qu'il m'a expliqué tout cela, j'ai hurlé en disant :
- "C'est cette maudite femme, celle de l’hôpital."
Mon père à de suite appeler la police. Ils ont enquêter auprès de l’hôpital pour être sûr de ce que je racontais, une fois chose faite, ils ont mis en ligne une alerte enlèvement.
J'étais dévasté, je ne faisais que pleurais, je n'avais même plus envie de me lever et quand je me levais, mes jambes se dérobaient. Je n'avais pas pu repartir au travail, mon patron était de tout cœur avec moi et me comprenait.
Aucune nouvelle de mon bébé depuis plusieurs jours, mes parents m'avaient forcé à aller voir un docteur qui m'a donné un arrêt de travail pour dépression, j'étais arrêtée trois mois.
Mais même une fois ce temps écoulait toujours aucune nouvelle de mon fils, j'avais toujours du mal à vivre normalement, mais j'avais pu reprendre un tout petit peu le travail, je travaillais avec une jeune fille pour me soutenir. Et je ne travaillais que le matin.
Mon fils me manquait tous les jours, je pleurais sans cesse, on avait déjà mis une multitude d'affiche, d'annonce sur internet, sur tous les sites de recherche... Mais personne n'avait vu mon fils ni cette femme.
C'était comme s'ils avaient quitté l'univers...
Je commençais à me dire que mon bébé était mort. Parfois je l'entendais pleuré la nuit, mais en me réveillant, il n'était pas là. C'était horrible, j'étais totalement perdue, Cyan me manquait terriblement, une partie de moi était absente.
Lorsque je suis rentrée du travail ce jour-là, je me sentais totalement épuisé, je suis directement allé dans ma chambre pour me reposer, cette fois j'ai entendu mon fils plus clairement. J'ai cherché partout dans ma chambre, quand j'ai entendu ces cris encore plus prêts de moi, il y avait une peluche que je ne reconnaissais pas. Quand je les prise dans les mains, elle était étrangement lourde, je l'ai retournée et il y avait une entaille grossière prenant tout son dos. J'ai enfoncée une main dans le dos de cette peluche pour récupérer un baby-phone.
En tenant ce baby-phone je ne savais pas quoi faire, j'ai pleuré à chaud de larmes et j'ai appelés mes parents, mon père à appeler la police qui est arrivée très vite. Cyan continuait de hurler dans ce maudit appareil.
Les policiers nous ont dit que ce genre d'appareil n'avait que quelques mètres de champ d'action et ils ont donc commencé à fouiller les environs. Ils sont allés voir certain voisin, ils ont essayé de trouver un moyen de suivre le signal. Les spécialistes ont mis un moment, mais au bout de longues minutes ils ont trouvé un signal.
Ce signal venait de la maison d'en face, celle de Monsieur Salvy, quand les policiers sont arrivés chez lui, ils sont rentrés de force et pendant la demi-seconde qui a séparé l'ouverture de la porte et sa fermeture j'ai aperçu Carmen tenant mon fils.
Je suis alors sortie sans attendre plus longtemps et j'ai couru vers cette maison. Mon père m'a rattrapée en me disant laissez-les faire leur travail, tu vas les gêner.
Il avait raison, mais c'était mon fils, un des policier était sorti de la maison avec Monsieur Salvy menottés.
J'ai accouru vers lui en lui disant en hurlant et pleurant en même temps :
-"Où est mon fils? Qui est cette femme et pourquoi est-elle chez vous avec en prime mon bébé, mon bébé merde..."
Monsieur Salvy m'a fixé d'un regard noir et m'a répondu :
"-C'est ma fille.
-Mais pourquoi avoir enlevé mon fils à moi, il y a plein de maman qui ont mis au monde un bébé ce soir-là.
Il m'a simplement répondu:
-Demande à ta mère. "
Je ne savais plus quoi penser, pourquoi demandez à ma mère, qu'avait-elle à voir dans cette histoire. Quand j'ai regardé à nouveau vers Monsieur Salvy, le policier l'avait déjà amenée dans la voiture.
Un énorme bruit résonna dans la maison ou se trouvait mon bébé, j'avais peur pour Cyan, j'ai regardé cette maison avec crainte. Carmen se trouvait sur le rebord de la fenêtre avec Cyan dans les bras, elle nous a regardé et nous a dit :
-"Où-est lise?"
Ma mère ce nommé Lise, elle se rapproche alors de Carmen en baissant les yeux et elle répond :
-"Je suis là Carmen, ne fais pas de bêtise, ce bébé n'est pas le tient, redescend maintenant."
Je regarde ma mère perplexe, elle s'approche alors de moi tout en fixant Carmen. Et elle me dit :
-"C'est une de mes patientes, elle est possessive maladive, quand elle est tombée enceinte c'était pour elle un nouveau départ. Carmen suivait son ex petit ami comme son ombre et avait agressé beaucoup de ses copines, mais quand elle est tombée enceinte sa possessivité c'est répercuté sur son fils et elle a oublié son ex petit ami. Mais quand elle a perdu son bébé, son problème c'est répercuté sur Cyan.
-Mais pourquoi mon fils à moi?
-Tout simplement parce que Carmen a dû te reconnaître, j'ai une photo de toi sur mon bureau et en général les personnes comme elle se répercute sur des personnes qu'elle reconnaisse. Et on avait déjà parlé de toi, elle avait besoin de mieux me connaitre. Elle a dû te reconnaître et a dû voir le berceau dans ta chambre."
J'étais énervée contre ma mère, elle aurait très bien pu me parler d'elle avant et m'expliquer son problème. Mais je lui réponds alors une nouvelle fois :
-"Quand je t'ai dit que cette maudite femme ce nommait Carmen, tu aurais pu me dire que se pouvait être elle. Récupère mon fils maintenant."
Ma mère avala sa salive et me dit :
-" Si on précipite les choses elle risque de sauter par la fenêtre avec Cyan."
Pendant notre longue conversation Carmen n'avait pas bougé, elle était toujours sur le rebord de la fenêtre en faisant des petits mouvements avant puis arrière. J'avais tellement peur pour mon fils qui continuait de pleurer, j'ai alors criée :
- "Ne pleure pas Cyan, maman est là."
A ces mots Carmen c'est stoppé net, elle m'a fixé et a hurlé :
"-C'est moi sa mère."
Juste après ces mots elle a sauté de la fenêtre.
J'ai hurlé, mes jambes se sont dérobées, mon cœur avait sauté plusieurs battements, j'ai même vomit tellement mes membres c'était contractés. Je me suis relevée dans un mouvement tremblant vers mon fils et quand je suis arrivée il ne respirait plus, il avait du sang partout, Carmen était morte également.
Un policier m'a relevé et m'a amené chez mes parents. D'autre policier ont appelés des médecins légistes pour récupérer les corps.
Le policier m'a fait asseoir et m'a donné un verre d'eau. Je ne savais plus, qui j'étais, je ne savais plus où je me trouvais, j'entendais encore des pleurs de bébé résonnait dans ma tête.
J'avais tués mon fils, comment je pouvais vivre maintenant avec cela sur la conscience.
Je me suis dirigée vers ma chambre, le policier à ma suite.
Je me suis alors allongée dans mon lit, quelques secondes après le policier à quitter la pièce, j'ai attendu un peu et quand j'ai entendu ses bruits de pas s'éloigner dans les escaliers, je me suis relevée.
Je me suis dirigée vers la fenêtre, je l'ai ouverte, j'ai reculé en gardant la fenêtre dans mon champ de vison et quand j'ai senti le mur derrière moi, je me suis mise à courir vers elle et j'ai sauté.
Je n'avais aucune crainte, je me sentais étrangement libre, peu de temps après j'ai entendu mes os se briser, la pénombre commençait à m'envelopper avec tendresse et j'ai alors sourit.
"J'espère que cette nouvelle vous a plu, merci de 'lavoir lu :D"
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