"Je vous présente aujourd’hui une nouvelle que j’espère vous plaira, bonne lecture ! "
Je ne me souviens pas de mes parents à part une phrase que ma mère a dite "Ne tourne pas à droite". Je ne sais pas pourquoi elle a dit ça, mais même si ça fait déjà 21 ans que mes parents ne sont plus de ce monde, cette phrase mes rester en tête et je l'entends sans arrêt dans mes rêves.
J'ai 22 ans, je m'appelle Maxial, mais on me nomme Max. Je travaille depuis mes 18 ans dans une librairie en tant que caissière. Je suis en CDI depuis peu, mais ce travail ne me plait pas beaucoup, la patronne est sympa avec moi et pourtant je rêve du jour où je pourrais fonder ma propre boutique. Un magasin de petit gâteaux. J'en rêve depuis petite, mais je n'ose pas sauter le pas, je suis encore jeune et je ne connais pas grand chose du monde du travail. Mes amies me poussent à quitter mon travail pour que je puisse réaliser mon rêve, mais mes grands-parents veulent que je continue d'économiser pour pouvoir être plus tranquille dans la construction de mon projet. Enfin j'espère y arriver un jour.
Ce matin-là je ne travaillais pas et donc je suis allé faire quelque petite course. Il nous fallait des pâtes, du riz et des fruits. Quand je suis arrivé au rayon des féculents je pris dans la main gauche des coquillettes et des spaghettis dans celle de droite. La phrase de ma mère revint d'un coup dans ma tête et ne sachant pas trop pourquoi je repose les spaghettis et je dépose les coquillettes dans mon panier. Ce fut le même dilemme pour le riz par contre les fruits je récupéré ceux dont je raffolais.
après les courses, je les rangent et j'allume mon ordinateur pour me renseigner sur comment créer une entreprise et surtout ce dont j'avais besoin comme bagages. Et j'étais contente de savoir que j'avais les bagages adéquat, le BTS vente.
Je discute avec ma mamie pour savoir ce qu'elle pensait de mon projet. Elle était plutôt perplexe, j'avais un CDI un travail sûr et en tout laissant tomber maintenant je pouvais tout perdre. Et elle finit par me dire "La nuit porte conseil".
Cette nuit là, je ne faisais qu'entendre ma mère répétait en boucle cette fameuse phrase. Mais bien que j'ai toujours eu ce rêve, cette fois c'était différent, je savais que j'étais physiquement présente. Au réveil j'avais mal au crane, le tournis et pire que tout je me sentais nauséeuse...Une fois mon petit déjeuner avalé, je me sentais mieux. Ce rêve me rendais un peu perplexe, je ne savais pas à quel point il me faisait penser, mais je savais qu'il était réel.
Je part à mon travail, tout en gardant en mémoire ce rêve. J'allais au travail à pied, il était situé dans une rue piétonne entièrement pavés avec plein de boutiques tout en pierre. Toutes les bâtisses étaient d'époque, ce qui rendait l'environnement un peu sombre, mais tellement atypique. Ma librairie était tout en pierre avec une porte en bois ronde grande de deux mètres et avec des armatures en métal noir. Et il y avait deux petites sculptures entourant la porte, elles représentaient des bibliothèques en pierre avec à l'intérieur de vrai livres qui commençait à se détériorer. Et juste en face il y avait une petite boulangerie dans lequel j'allais souvent manger le midi. Les gérants étaient vraiment des gens gentils, la dame qui servait me racontait souvent qu'il lui tardait de partir à la retraite pour pouvoir profiter pleinement de ses petits enfants.
Enfin l'heure du repas arriva, je me dirige à ma petite boulangerie comme à mon habitude. J'hésitais beaucoup entre le poulet curry ou le magret aux canards fumés. Une fois encore la voix de ma mère résonna dans ma tête et je choisis le sandwichs situé à ma gauche (le poulet curry). Je ne comprenais pas bien pourquoi la phrase de ma mère revenait à chaque fois que je devais choisir mais c'était quelque peu pratique. Même si ça restait toujours un peu perturbant.
Une fois mon repas engloutit, je repartis à ma caisse et pour une fois je ne pue pas beaucoup lire. J'étais contente enfin il y avait des clients aussi bien des habitués, que des parents avec leurs enfants ou encore des adolescents. A force d'observer tout ce petit monde en train de lire dans la boutique, je me suis dit, mais pourquoi ne pas fonder un bar à livre. J'imaginais très bien tout le monde assis à une table avec une tasse et des gâteaux. Surtout que sa n'existait pas dans ma petite ville. Le soir même j'en parle à ma patronne qui trouva cette idée assez intéressantes, le seul problèmes c'est qu'elle ne pouvait pas se permettre de créer une cuisine dans sa librairie. Cela demande d'énorme travaux et un budget des plus conséquents.
Cette nuit-là, je fis de nouveaux un rêve cependant il était beaucoup plus clair. Je voyaient des lumières qui éclairaient devant moi et j'entendais mon père parlait. Ils rigolaient avec ma mère, j'avais les larmes aux yeux, comment se pouvait-il d'être aussi heureuse dans un rêve. Mais malgré cette joie inouïe je me sentais perdue. Je ne savais pas où je me trouvais, mais en tout cas l'environnement autour de moi bouger. J'essaye en vain de tourner la tête et je me réveille. Je regarde l'heure il était 6 h, je commence le travail à 8 h, mais je n'avais plus du tout envie de dormir. Je me réveille et me prépare. Et je partie au boulot. Certes il était tôt, mais je n'avais pas envie de rester chez moi à ne rien faire.
Quand j'arrivais devant la boutique, je me suis rendu compte à quel point elle avait du charme, je ne comprenais soudain pas pourquoi il y avait si peu de client. Je travaillais ici depuis cinq ans pourtant je n'avais jamais remarqué à quel point elle était sublime. Étrange... Je commence à tout ranger et mettre en place les nouveaux livres. Et une fois finit j'ouvrie la boutique, c'était plus tôt que d'habitude, mais tant pis. J'avais eu le temps de finir mon livre " Paranoïa de Melissa Bellevigne". Du coup j'allée le ranger dans son rayon et je me dirige vers le rayon des romans fantastiques, deux livres m'intéressait beaucoup, mais comme toujours la voix de ma mère me revint en tête et je pris celui de gauche ' L'épée de Vérité de Terry Goodking". Une fois mon livre en main, je m'installe à ma caisse.
Pour la première fois une cliente arriva dès l'ouverture et me demanda si on avait les Harry Potter. Pour moi ça semblait une évidence de l'avoir. Du coup je lui répondis que oui et l'amena dans le rayon correspondant. A peine ai-je eu le temps de lui montrer les tomes qu'elle les pris tous et se dirigea à la caisse. De toute ma vie dans cette boutique je n'avais jamais vu quelqu'un acheter sept tomes d'un coup mais bon j'étais bien contente.
L'après-midi fut tranquille, il n'y avait pas beaucoup de client, mais assez pour que je ne puisse lire que deux chapitres.
Ce soir-là deux de mes amies me proposèrent de sortir, Micha voulait passer une soirée à jouer à la console tandis que Nelly voulait aller au cinéma. Mon cœur avait envie de jouer à la console, mais une petite parti de moi voulait aller au cinéma. En rentrant chez moi je me rendis compte que Micha vivait à ma gauche et Nelly vivait à ma droite. Mon choix ne fut pas très compliqué, je choisis la soirée tranquille à jouer à la console. Mais pour ne pas trop être catégorique je propose à Nelly d'aller au cinéma le lendemain soit le matin soit l'après-midi. Elle accepta et on se retrouva toutes les trois chez Micha.
Cette soirée fut vraiment sympas, console, pizza et glace. Que demandais de plus ! Et à la fin du repas plus rien...
Encore ce rêve... Cette fois je savais que ce que je voyais je l'avais réellement vécue. Je ne savais pas quand, ni comment mais j'étais avec mes parents à ce moment-là. Une sensation de déjà vu extrêmement puissante. Je voyais encore cette lumière éclairant l'environnement, cette fois je réussis à tourner la tête. Je vis alors une portière de voiture, j'étais donc dans une voiture, nous étions sur un petit chemin de campagne.
Mais je me réveille en sursaut. Micha était au-dessus de moi et me secouer. Je ne me souvenais même pas de m'être endormit chez elle,mais elle m'explique qu'elle travaillait et que je ne pouvais pas rester là. Je rentre donc chez moi. Ma mamie me tomba dessus d'un air mélangeant la panique et l'énervement " Ou étais-tu ? Si tu dors ailleurs préviens nous, on c'est fait un sang d'encre". Je lui répondi " Je t'avais dit que j'étais allé chez Micha, c'est juste que je me suis endormir très vite et je n'ai donc pas pu te prévenir. Je suis désolé". Ma grand-mère me regarda et me dis "D'accord, mais la prochaine fois dit le nous". Et elle quitta la pièce.
Une fois arriver je reçois un SMS. Je regarde alors mon portable c'était Benjamin un mec à qui je n'avais pas parlé depuis des années. Je l'avais connu au lycée, le genre de mec un peu bizarre que personne n'a vraiment envie de connaitre pourtant avec moi le feeling passer bien. On avait beaucoup de points en commun on adorait les jeux vidéos, les mangas et les films d'horreur. On passait toutes nos soirée à parler par message, on se couché à pas d'heure. Et pourtant quand j'avais enfin réussit à lui ouvrir mon cœur il me sorti cette fameuse phrase " Je ne te mérite pas". Comment peux-tu savoir que tu ne me mérites pas alors que tu n'as même pas essayé et puis je suis désoler mais c'est une phrase plus gentille pour dire tout simplement non...
Cette journée avait été très fatiguant, je n'avais pas arrêter de bouger. Quand j'eu à peine finit de me changer, me laver les dents et que je m'allonge. Je m'endormis sans m'en rendre compte. Le rêve ne se fit pas attendre plus longtemps. Je voyais au tour de la voiture des arbres tellement serrer qu'on ne voyait même pas la lune par endroit. C'était une nuit sans étoile. Mes parents avaient l'air vraiment heureux, ils parlaient et rigolaient sans cesse. Mon père conduisait et ma mère était à ses côtés. Je regarde du coup à ma gauche, le siège était vide et surtout ils étaient plus bas que moi. Je devais donc être dans un siège auto. J'essayais d’appeler ma mère, je voulais voir son visage, mais je n'y parvint pas et je me réveille. Même si ce rêve avait toujours fait parti de moi jamais il avait été si détailler, j'étais persuadé qu'un jour je comprendrais toute l'histoire de ce rêve.
Une fois encore quand j'arrive à mon travail je vis que la boulangerie était encore fermée. Je commence à vraiment me poser des questions ça faisait déjà trois jours. J'espérais surtout que ce n’était pas grave.
Je me positionne à ma caisse comme d'habitude, mais plus d'une fois je me surpris à penser à ma boutique, sa devanture, ses gâteaux, sa décoration. J'avais même pris des notes sans m'en rendre compte. L'envie de fonder ma boutique devenait de plus en plus forte, j'étais heureuse simplement en y pensant. Cette idée ne me quitta pas de la journée. Ce soir-là je regardais s'il n'y avait pas un local à louer ou encore à acheter, mon compte bancaire et je commençais à vraiment réfléchir sur ce que je souhaite vraiment pour mon magasin. Je voulais vraiment créer un salon de thé à livre. C'était décidé se serait mon projet. Même si j'en rêvais pour le moment sauter le pas était encore difficile, mais je savais que dans ma petite ville c'était quelque chose de jamais vu. Et je suis sûre que ça pouvait plaire.
Je me couche avec plein d'idées en tête, le sourire jusqu'aux oreilles. J'étais vraiment heureuse. Mais cette joie fût de courte durée.
Le rêve revint à la charge,mais cette fois je n'étais pas dans le siège j'étais dans les bras de ma mère, je ne faisais que regarder son visage, mais il était flou. Je ne comprenais pas non plus ce que mes parents racontaient. Pourtant, je me sentais pleinement sereine et heureuse. Ma mère m'installa dans le siège-auto, mon père me fit un bisous sur le front et ils se dirigèrent à leur place respective. Je ne comprenais pas pourquoi, je voyais tout ça, ce n'était jamais arriver jusqu'ici. Et cette fois je voyais et ressentait tout nettement. Il faisait froid, mais pas un froid hivernal, mais plutôt automnal. Les phares éclairaient à merveille le chemin qui n'était pas très épais on ne passait pas à deux voitures. Mes parents parlaient et rigolait encore. Moi par contre mes yeux commencer doucement à se fermer quand soudain de grands phares éclairent notre voiture. Je me réveille d'un bond, mon père et ma mère commençait à paniquer. Leur respiration été saccader. Mon père faisait des appels de phare, mais le véhicules d'en face n'avait pas l'air de ralentir. Je comprenais de mieux en mieux où je me trouvais et ce qu'il allait se passer. Mes parents sont morts dans un accident de voiture, je n'avais donc pas plus d'un an, mais une chose que j'ignorais, je ne savais pas que j'avais été présente ce fameux jour. J'aurais voulu hurler, les prévenir qu'ils falaient bouger de la route, une voiture était derrière nous et elle nous suivait de trop près... Ma mère hurla " Ne tourne pas à droite" et le trou noir.
Le réveil fut brutal, des larmes coulèrent sur mes joues, mon corps tremblait comme une feuille. Je ne faisais que crier. Mon cœur battait à tout rompre. Je ne comprenais rien. La porte de ma chambre s'ouvrit en tout hâte, mes grands-parents entrèrent en panique. Me demandant tout deux ce qui c'étais passé. Je leur raconte alors mon rêve comme je pue, mes phrases avaient du mal à sortir, j'étais comme étouffé. Mais ils comprirent l'essentiel. Ma mamie me sera dans les bras et me dit à l'oreille calme toi c'est fini maintenant. Sans m'en rendre compte je me rendormis.
Au réveil je compris enfin que j'avais revécue la mort de mes parents tout simplement parce que j'avais été présente. J'avais dû être perturber par cet accident à tel point que la phrase de ma mère avait été inscrite dans une parti de mon cerveau. Je ne comprenais cependant pas pourquoi le rêve entier avait refait surface. Mon cerveau avait peut-être analyser très vite les événements. Mon corps lui n’acceptait pas ce rêve,il tremblait toujours énormément , je n'arrivais même pas à me lever. Mon cœur battait tellement fort que je me sentais mal. On frappa à la porte, ma mamie entra dans ma chambre avec un plateau pour le déjeuner. Elle s’essaya à mes coter me posa le plateau sur les genoux et me demanda si ça allait mieux.
Je lui dis la vérité et elle me demanda si je voulais entendre la version des témoins de l'accident. Je réfléchis un long moment et je répondis "oui " d'une petite voix. Mais je devait savoir ce qui c'était réellement passer ce soir-là.
Ma mamie commença donc son récit " La voiture qui se trouvait derrière celle de mes parents avait entendu une femme crier "Ne tourne pas à droite" avant de la voir foncer dans le ravin et foncer à tout allure dans un immense arbre. Ils se sont sorti de leurs voitures et se sont précipités pour aller voir les dégâts. Dès qu'ils ont quitté leur véhicule le camion qui arrivait en face percuta leur voiture de plein fouet. Leur voiture était méconnaissable et le conducteur du camion avait été sonner. Les conducteurs de la voiture appela donc les secours. Ils arrivèrent par la suite, mais mes parents étaient déjà morts, ils ont ensuite appelé ma mamie qui m'a recueillit. Le conducteur du camion était extrêmement alcoolisé et il est allé en prison. " Je pleurais à chaud de larmes, je ne comprenais pas pourquoi ce chauffeur avait pu boire avant de conduire. Je trouvais cela injuste, il aurait été sobre mes parents n'auraient pas prit peur ils serraient sûrement toujours de ce monde. Je ne comprenais pas pourquoi ma grand-mère ne m'avait jamais raconter ça. Peut-être avait -elle simplement eu peur de ma réaction. Et elle avait raison, ce souvenir me rendait malade. Même si le rêve ne faisait plus son apparition le souvenir était toujours bien présent.
J'essaye par tous les moyens de me persuader que c'était comme ça, qu'on ne pouvait rien y faire. Mais une part de moi n'acceptait pas cette vision des choses et voulait désespérément comprendre pourquoi sa devait être mes parents et pas quelqu'un d'autre. Je pensais souvent au fait que si mon père avait tourné à droite il serait peut être toujours là. Ou pire on serait tous mort. Je ne savais plus quoi penser. J'aurais tout donné pour ne jamais avoir eu ce souvenir ni cette phrase en tête et avoir une vie normale. Faire c'est propre choix sans aide.
Je ne savais pas combien de temps j'étais resté au lit, mais je voyais souvent Micha et Nelly qui me rendait visite. Après plusieurs jours de déprime et de question inlassable, je commence à me dire que dans tous les cas malheureusement ils sont morts et qu'on ne pouvait rien y faire. Certes c'était dur à concevoir mais c'était la vérité. Le passé est le passé on ne peut rien y faire. Mais je peux toujours changer ma vie pour qu'elle soit là plus parfaite à mes yeux.
Micha et Nelly m'appris que la boulangerie avait fait faillite. Le local était soit à louer soit à acheter. Sans hésiter une seule seconde je prie mon portable, je tape le numéro de l'agence et je l'appelle. Par la suite je demande à ma banque, au pôle emploi quels papiers fallaient fournir pour créer son entreprise. Une fois le dossier fait je leur envoie.
En attendant de connaitre la réponse de l'agence et surtout savoir si je pouvais m’installer, je continue mon travail à la librairie. Mais je ne lui cache en rien mon projet et me dis simplement " J’espère que tout se passera bien pour toi, sinon la porte te sera toujours ouverte".
On m’appelle peu de temps après pour me dire que mon projet plaisait et qu'il ne manquait plus que le local. Ensuite, ce fut au tour de l'agence de me joindre, mon prêt avait été accepter. J'avais officiellement les clés de ma boutique. Je démissionne quelques mois après le temps de tout mettre en place, de faire la décoration, la devanture. Heureusement je ne devait pas tout refaire, il fallait juste changer quelque bricole et faire un bon grand nettoyage, mais ce fut rapide. J'avais appeler ma boutique "Le bon choix de gâteaux". Je proposa par la suite de m'allier avec Madame Du Chatel pour proposer aux clients de pouvoir emprunter des livres tout en mangeant et buvant. Elle accepta assez vite. On créa donc une terrasse pour proposer ce nouveau service. Les clients étaient régulier et on commençait à avoir de bon revenue.
Ma vie décollait enfin, malgré le malheur que j'ai connu. Quelque part je me dis que mes parents m'ont guidé pour que je fasse le bon choix. Et que les malheurs de la vie font que nous sommes ainsi maintenant. J'avais enfin réussit le rêve de toute une vie. J'étais heureuse, ma famille également.
Même si ce rêve ne me revenait plus en tête, j'avais été réellement perturber, j'avais beau avoir mon permis, je refusais catégoriquement de conduire, j'en avais peur. Ma vie commençait à ressemble à ce que j'avais toujours voulu mais intérieurement se souvenir ne me quittait plus.
Ce soir-là mon père avait fait un mauvais choix qui lui à coûter la vie ainsi que celle de ma mère, mais peut-être que s'il avait choisis l'autre côté on serait tous mort. Je ne saurais jamais,mais une chose étais sûre dorénavant je me battrais dans mes rêves pour que mes parents soient fier de moi et qu'ils ne soient pas mort en vain.
" Dans cette nouvelle je veux juste vous dire que chaque expérience même celle des plus difficiles font de vous les personnes que vous êtes. Elles ne vous quitteront jamais, mais grâce à elle vous ferait que votre vie correspondent à ce que vous désirez. Battez-vous pour vos rêves et ne dite jamais que vous ne pouvez pas le faire, on est tous capable d'atteindre nos rêves. Il faut juste oser. Merci d'avoir lue cette nouvelle assez longue ^^ "
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